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Christian
Ferron :
Privé d’amour
toute son enfance, il s’est replié sur lui-même
et ne croit plus du tout en la bonté ou la générosité.
Il est doux, sensible et attentionné et trouve son père
radin et grossier. Malgré tout, il a toujours cherché à se
faire aimer ou à se faire remarquer de son père.
Mais pour Georges, Christian n’était jamais assez
fort, jamais assez battant, jamais assez bien. Son estime de lui-même
est au plus bas jusqu’à ce qu’il entame sa
chrysalide...
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